Fini l'incinération, fini l'enfouissement, nos déchets valent mieux que cela !!
Les biodéchets sont collectés
séparément et valorisés par compostage. Il en
ressort un compost riche en matière organique, très apprécié des agriculteurs et jardiniers.
Le reste des « déchets » -
composé pour l'essentiel de plastiques - n'étant plus souillé, peut être
aisément trié, reconditionné, revendu et réintroduit dans les cycles de
fabrication.
La partie non recyclable est, par expérience, de l'ordre de 20% la première année et s'amenuise d'année en année pour atteindre l'objectif de zéro déchet.
La partie non recyclable est, par expérience, de l'ordre de 20% la première année et s'amenuise d'année en année pour atteindre l'objectif de zéro déchet.
Au-delà des bienfaits sur
l’environnement et la santé, ce modèle crée de l’emploi qualifié non
délocalisable et coûte moins cher que le modèle actuel.
Et ça marche !!
San-Francisco (800.000 hab.),
Capannori en Toscane (26.000 hab.), Hernani
et Usurbil en Pays Basque Espagnol (26.000 hab.) sont des exemples qui font des émules dans
leur pays. Et des communes en France commencent à s’y mettre.
Tout est question de volonté.
Tout est question de volonté.
Nos élus sauront-ils saisir cette
opportunité ou persisteront-ils dans des solutions du siècle dernier ?
A nous de les convaincre que c’est LA solution d’avenir
et qu’un incinérateur « valorisé » à 16 millions d’euros (avec nos
impôts), on n’en veut pas !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire